La Nouvelle-Orléans

Empire, Louisiane, XIXe Siècle

Un royaliste parmi les bonapartistes…

En 1818, Barthélémy Sernin du Moulin, baron de Montlezun de Labarthette (Labarthète), plus communément connu comme le Baron de Montlezun [1], que l’on pourrait définir comme un royaliste très « Ancien Régime » édita à Paris plusieurs ouvrages contant un voyage de deux ans qu’il fit aux Antilles et aux États-Unis. Le premier, Souvenirs des Antilles : voyage en 1815 et en 1816, aux États-Unis, et dans l’archipel Caraïbe ; aperçu de Philadelphie et New-York ; description de la Trinidad, la Grenade, Saint-Vincent, Saint-Lucie, Martinique, Guadeloupe, Marie-Galante, Saint-Christophe, Sainte-Croix et Saint-Thomas .[2] est d’une lecture moins aisée que le second qui s’intitule Voyage fait dans les années 1816 et 1817, de New York à La Nouvelle Orléans (…) .[3] Ce récit de voyage qu’il fit à 40 ans passés, de par son style est assez plaisant à lire. Et de par les remarques de cet homme de son temps qu’elles soient géographiques, politiques et autres, cet ouvrage possède un certain intérêt historique.

Révolution française, Louisiane, XIXe Siècle, XVIIIe Siècle

Quel révolutionnaire français était Jean Leclerc éditeur du journal louisianais « L’Ami des Lois » ?

Avec les deux vagues d’émigration de réfugiés de Saint-Domingue vers la Louisiane en 1804 puis en 1808, il eut à La Nouvelle-Orléans un foisonnement de la presse francophone. Et parmi ces nouvelles publications fut lancé, par un certain Jean Leclerc,  l’Ami des lois  qui devint en 1815,  L’Ami des lois et Journal du soir [

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