Empire

Empire, Guerres de Vendée, XIXe Siècle

L’affaire des plombs

L’affaire des Plombs, appelée aussi « Agence anglaise de Bordeaux », reste une page de l’histoire de l’Empire parmi les plus méconnues. Elle est éclipsée dans la longue liste des complots contre Napoléon, par l’affaire Cadoudal, la conspiration des poignards, la machine infernale, etc.

Empire, Louisiane, XIXe Siècle

Jean Blanque, un homme de Napoléon en Louisiane

Le 23 mars 1803, la frégate le Surveillant accoste au Port de La Nouvelle-Orléans ; à son bord se trouve Pierre Clément de Laussat, nommé par Bonaparte préfet colonial de Louisiane.[1] Ses premières missions sont de préparer officiellement l’arrivée de l’expédition Flessingue,[2] et la rétrocession de la Louisiane de la part des Espagnols au bénéfice de la nation française. En effet, en 1762, lors du traité de Fontainebleau, suite à la guerre de Sept Ans, la France a cédé ce territoire à la royauté espagnole, mais de par celui de San Ildefonse, Napoléon récupère cette immense région d’Amérique.

Art, Empire

Le combat de Nazareth vu à travers le tableau de Gros

Lors de l’expédition de Syrie, durant la campagne d’Egypte de Bonaparte, eut lieu le siège de Saint-Jean d’Acre. Afin de soutenir la ville, 20 000 à 30 000 Turcs arrivèrent en renfort, et Bonaparte dut faire détacher la division de Kléber au-devant de l’ennemi. Le 8 avril 1799, lors de la bataille dite de Nazareth, l’avant-garde de cinq cents hommes commandés par Jean-Andoche Junot, promu général de brigade dès son arrivée en Egypte, les vainquit. Ce fait d’armes fut immortalisé par Antoine Jean Gros et est considéré comme un chef-d’œuvre dans la représentation de batailles

Rivaud Auguis
Empire, Révolution française, XIXe Siècle

Lorsque le général d’Empire Rivaud de la Raffinière et l’ex-conventionnel Auguis faisaient affaire

Il y a une bonne vingtaine d’années, en flânant place Viarme à Nantes, où des brocanteurs déballent leurs marchandises tous les samedis matin ; mon regard fut attiré par un carton rempli de vieux papiers. C’était très certainement un vide-maison effectué par le professionnel et en feuilletant ces documents, s’avérant  de prime abord fort peu intéressants, une liasse de vieux papiers regroupés attira toutefois mon regard. Un patronyme me semblait familier, Rivaud de la Raffinière. En effet, cette vieille famille poitevine donna un général de division républicain ayant son nom sur l’Arc de Triomphe. L’autre nom, Auguis ne me semblait pas non plus complètement inconnu.

Retour en haut